L’homme politique est comme tout le monde. L’âge venant, les enfants partis, le désir déclinant, il apprécie la compagnie des bêtes. Certains ont fait des animaux leur miroir, d’autres leur marche-pied électoral. Les plus vieux se souviennent que, dans une émission de télévision à l’époque du noir et blanc, « La Tête et les jambes« , Laurent Fabius avait commencé à épater la France du haut de son cheval. Il n’en n’est jamais redescendu. On égrenne les noms des labradors présidentiels et on n’a jamais retenu ceux des dobermans de Jean-Marie Le Pen.
En politique comme ailleurs, les hommes préfèrent les chiens parce qu’ils sont fidèles et un peu cons, comme
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